Dans l’éditorial d’aujourd’hui, Lucienne Spencer (Université de Bristol) discute des torts de la dépathologisation des troubles mentaux graves, et aborde plus particulièrement le TOC. Cet éditorial court est basé sur un article plus long et plus complet « Tout le monde n’a-t-il pas un peu un TOC ? Les préjudices épistémiques de la dépathologisation injustifiée » coécrit avec la Pr Havi Carel et publié en accès libre dans Philosophy of Medicine.